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12 janvier 2006 4 12 /01 /janvier /2006 00:00

Pour recevoir l'histoire dont votre enfant est le héros, il suffit de :

- me fournir son prénom,

-me fournir les prénoms de deux de ses meilleurs copains (ils seront les compagnons du héros)

-je peux également inclure le prénom de la petite soeur comme princesse

-votre adresse e-mail ou msn (je préfére e-mail)

C'est tout et gratuit. Le but étant de faire participer votre enfant à la lecture à travers un texte dont-il est le héros.

PS : Pour des renseignements complémentaires me contacter dela manière de votre choix.

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9 janvier 2006 1 09 /01 /janvier /2006 10:14

Dans leur manteau d'hermine les vieux solitaires regardent l'agitation vaine des hommes.

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9 janvier 2006 1 09 /01 /janvier /2006 09:59
J’avançais guilleret, sans l’ombre d’un soupçon,
Sur mon bout de chemin menant au purgatoire.
Dans une douce vie, sans demander rançon.
Sans caillou sous mes pas, sur la voie sans histoire.
J’avais des jours tièdes, des soirées monotones.
Des rêves bien sages et des penchants très sûrs.
Mes printemps s’écoulaient tels de petits automnes,
Mes passions s’endormaient, en gardant la posture.
 
Coquelicot en feu, au milieu des blés mûrs,
Déploie sa corolle comme goutte de sang.
Il fait le contraste sur jaune chevelure
Et pose cocarde sur le revers du champ.
 
Tu as, en pénétrant dans mon jardin secret,
Tiré le voile blanc et brisé le miroir
Dans lequel je voyais mon reflet se faner.
Ma digue fut rompue abreuvant ma mémoire
Et voilà le retour de mes jeunes années,
Je jette mon bonnet par-dessus les moulins.
Mon cœur est troubadour, je suis prêt à aimer,
A brûler mes vaisseaux et à croire en demain.
 
Coquelicot en feu, au milieu des blés mûrs,
Déploie sa corolle comme goutte de sang.
Il fait le contraste sur jaune chevelure
Et pose cocarde sur le revers du champ.
 
Je reprends le chemin de ces temps pleins d’ivresse,
Si tu me tiens la main nous monterons là-haut
Sur les sommets anciens de ma folle jeunesse
Que j’avais oubliés et qui me font défaut.
Je redeviens Pierrot et perché à la lune,
Je cueille ses rayons que je mets en bouquet
Et dépose à tes pieds mon unique fortune,
Une rose des vents, que je t’offre en acquêt.
 
Coquelicot en feu, au milieu des blés mûrs,
Déploie sa corolle comme goutte de sang.
Il fait le contraste sur jaune chevelure
Et pose cocarde sur le revers du champ.
  
Je fais la promesse de tenter des prouesses,
Si Cupidon prend soin par un trait bien placé
De te toucher le cœur pour faire qu’il y naisse
La passion cruelle qui vient de m’enflammer.
 
Coquelicot en feu, au milieu des blés mûrs,
Déploie sa corolle comme goutte de sang.
Il fait le contraste sur jaune chevelure
Et pose cocarde sur le revers du champ.
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6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 18:08

Face au lac en fusion couronné d'un ciel de feu, les géants de bois, placides dans leur manteau d'épines, observent la nature créer ses merveilles.

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17 décembre 2005 6 17 /12 /décembre /2005 16:38

Cerné par des oiseaux moqueurs,  le petit caneton cotonneux s'élança à la recherche d'une tendre bise.

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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 10:59
Je ne veux pas laisser le temps
Nous contraindre à cette habitude
De s’enfermer douillettement
Dans une vie de platitude.
 
Prenons le soin de reproduire
Tout ce qui crée le moindre émoi.
N’hésitons pas à nous enfuir
Tous deux sur de nouvelles voies.
 
Alors jette ce tablier,
Mes yeux étant deux polissons
Revêts la robe et chemisier
Mettant ton corps à l’unisson.
 
Glisse à tes pieds ces escarpins
Qui rendent ta jambe si fine
Et maintenant tu prends ma main
Tu redeviens ma Colombine.
 
Ton Pierrot t’emmène en voyage
Dans son grand monde de sorcier,
Tu verras les blancs estampages
Que le vent crée sur les glaciers.
 
Tu sentiras l’odeur d’épices
Sur la voie de Marco Polo,
On franchira les précipices
Et les barrières de coraux.
 
Au pays vert des Séminoles,
Un vieux chaman, je te prédis,
Te montrera ces rossignols
Qui ont des chants de paradis.
 
Tu croqueras les pommes d’or
Du beau jardin des Hespérides
Que je volerai sans remords
Aux jeunes vierges intrépides.
 
Tu goûteras aux fruits charnus
De cette corne d’abondance
Et tu verras le soir venu
Danser des nymphes en cadence.
 
En partant d’une satrapie
Le djinn compagnon d’Aladin,
Nous conduira sur son tapis
Voir Babylone et ses jardins.
 
Tu toucheras du bout des doigts
Les sept couleurs de l’arc-en-ciel
Et nous monterons sur le toit
Des montagnes effleurant le ciel.
 
Et tu pourras déambuler
Dans une toile de Vermeer
T’amusant à faire couler
Un peu de lait d’un blanc lunaire.
 
Nous irons sur l’île aux enfants
Ecouter leurs voix de sirène
Et dont le chant te réchauffant
Fait s’évanouir toutes les peines.
 
Alors il ne faut plus attendre
Pour voir ces mondes inconnus
Sur nos draps blancs on va s’étendre
Je vais t’aimer sans retenue.
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9 décembre 2005 5 09 /12 /décembre /2005 11:21

 

Lassé par l'éternelle attente au paradis des oiseaux, l'animal volant préhistorique fouetta de sa longue queue le ciel des hommes dans une apparition fugace.

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9 décembre 2005 5 09 /12 /décembre /2005 00:00
La vague des flots bleus dans un galop rageur
Vient frapper le rocher dominant l’océan,
Dans ce heurt de géants aux échos tapageurs
L’onde amère se brise en écume d’argent.
 
Le ressac emporte, dans sa danse rituelle,
Les restes disloqués de l’assaillant liquide
Et la mer aussitôt pour son assaut ponctuel
Relance un cavalier contre l’écueil bastide.
 
Le puissant minéral donne le sentiment
De se gausser des eaux et de ses offensives
Mais en réalité le colosse se fend
Sous les coups de boutoir des vagues abrasives.
 
Le temps fait son effet sur le rocher blessé
Recevant sur ses flancs les gifles régulières
D’un flux dont l’érosion l’a un jour terrassé
Projetant le récif dans les eaux meurtrières.
 
Comme les océans les peines de ma vie
Déferlent sans répit sur les parois du cœur,
Les coups le fissurent, le laissant en survie,
N’en ajoutez pas une autrement il en meurt.
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8 décembre 2005 4 08 /12 /décembre /2005 07:28
Le bateau enivré tournoie dans la furie
Vomissant aux sabords les eaux bleues qu’il charrie.
La tempête rudoie les marins sur le pont
Et un éclair foudroie le grand mât d’artimon.
 
A l’assaut du mur d’eau le navire se dresse,
Comme le Don Quichotte, héros de Cervantès,
Voulant charger sans peur les hauts moulins de bois,
La vague puissante, sans effort, le renvoie.
 
Un homme est à la mer, entouré de requins,
Implorant son salut en tendant une main,
Disparaît aussitôt dans la gueule affamée
Et l’écume rougit, du festin consommé.
 
Le vent hurle à la mort dans les lambeaux de voiles
Et décroche du ciel les dernières étoiles.
Les rafales en meute attaquent le gréement
Et brise le grand mât dans un cri déchirant.
 
Les eaux prennent d’assaut le navire blessé
Sur la côte, les vents, tentent de le drosser.
L’équipage aux yeux fous implore le Divin
Et le saint Mathurin, le patron des marins.
 
Le calme enfin revient, le vent se change en brise,
La mer se fait d’huile, ses vagues agonisent.
Le trident à la main, laissant ces myrmidons,
Passe le dieu des eaux, le grand Poséidon.
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6 décembre 2005 2 06 /12 /décembre /2005 13:10
Fatigué par le poids incessant des rayons solaires venant s'accrocher à sa ramure, le baobab laissa son ombre tomber sur le sol.
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